lundi 31 janvier 2011

Confiture de jeu mondiale

Certains de mes amis du même monde que moi (vous n'imaginez pas ce qu'ils sont gais !) ont participé, pendant que je me la coulais douce au festival de la BD, à la Global Game Jam ! Le but ? Réaliser un jeu, sous contrainte, en 48h. Le sujet de cette année : Extinction. Avec des points bonus pour des trucs genre "résolution très faible", "utiliser uniquement 4 teintes de la même couleur", etc.

Essayez ce qu'ils ont fait !











Bon, ok, je n'ai pas encore testé London Epidemic (qui a l'air super sympa). Spread, sous ses faux airs de go est très dynamique, Burn, Comic, Burn se joue bien quelques minutes avec un principe vraiment original, et Xeno Hunt Overdrive nous rappelle la belle époque de Duke Nukem, mais sur game boy. Il est de plus est réalisé en partie par mon pote J!m qui s'est fait (très) plaisir sur le pixel art, les petites bêtes et les gros flingues. Plein de bonheur dans ta gueule.

Hey ! Vous pouvez même voter pour votre jeu préféré à droite ! Le lauréat recevra un prix spécial de la part des lecteurs du blog TroisSurCinq ! Génial, non ?


[edit] Pour jouer à Spread, il suffit de cliquer sur la boule bleue. Après ça, on comprend le principe. En principe.

mardi 25 janvier 2011

Nous voyons

Les activistes ont pris le pouvoir sur un blog du concours Hits Playtime organisé par lemonde.fr.


J'ai comme l'impression qu'il y aura des choses à suivre de ce côté-là... Et si c'était pour du vrai ?

dimanche 23 janvier 2011

Traum

Traum est enfin disponible !


Attention, le jeu pèse dans les 200Mo. Il n'y a pas eu de phase d'optimisation des ressources, désolé.

Pour ceux qui n'ont pas trop suivi, il s'agit d'un jeu de puzzle-plateforme en coopération (pour deux joueurs, donc), réalisé en 6 semaines avec l'outil Game Maker, en équipe de 9. Il est axé avant tout sur la synchronisation et la coordination des joueurs, celui du haut dirigeant l'imaginaire du petit garçon (plutôt plateforme) et celui du bas déplaçant les objets physiques réels (plutôt action/réflexion).

J'y ai joué le rôle de Game Designer, Game Writer et Level Designer avec mon ami Marco.

Petit rappel : pour jouer à Traum, il vous faut
  1. Un ou une ami(e), mais pas plus.
  2. Une ou deux manette(s) xbox360 filaire(s).
  3. Un ordinateur pas trop mou, avec une distribution récente de Windows (minimum xp)






Pour le joueur du bas (dit "réel"), utilisez le stick gauche pour vous déplacer, en allant vers le haut pour grimper sur les meubles. Le reste vous est communiqué au fil du jeu. Astuce : si le jeu a planté, appuyez sur la touche "back" de la manette, ça vous remet au début du niveau courant et réinitialise tout.

Pour le joueur du haut (dit "imaginaire"), si vous jouez avec un clavier, utilisez la touche "Q" pour aller à gauche, "D" pour aller à droite, et "Z" pour sauter. Avec une deuxième manette, c'est le bouton "A" pour sauter et le stick pour se déplacer (attention, il faut cliquer sur "manette" à l'écran-titre). Le jeu est un peu plus sympa avec deux manettes, mais pas de beaucoup.

Ce dernier est constitué d'une intro, d'un niveau "post-intro", de deux niveaux de tutoriels suivis de 7 niveaux à la difficulté croissante, plus un niveau final, pour une durée de vie d'environ 15/20 minutes quand on ne le connaît pas. Pas de sauvegarde possible, donc si vous voulez voir la fin, accrochez-vous ! Traum est un peu difficile, mais loin d'être infaisable. Environ du niveau de Happy Ending, en fait, mais avec un meilleur rythme, une meilleure progression.


Et en exclusivité, la séquence d'introduction du jeu, pour ceux qui n'ont pas tout le nécessaire sous la main...







dimanche 9 janvier 2011

Quand on ferme les yeux


Avec les copains, on a rendu la première version de Traum, un puzzle-platformer en coopération jouable sur PC uniquement. Dans une semaine, il sera complètement abandonné terminé ; d'ici-là, voilà quelques Artworks, Screenshots et autres éléments de Design tirés de la Game Doc !







L’histoire 

Alors qu’il vient tout juste d’emménager dans le manoir familial, un jeune garçon âgé de six ans s’apprête à vivre une des nuits les plus importantes de son enfance.
Un soir, alors que ses deux parents sont invités par les voisins, la baby-sitter appelle pour annoncer qu’elle ne pourra pas venir à temps. Sa mère vient lui annoncer la nouvelle alors que celui-ci est sur le point de s’endormir : « Tu es un grand garçon maintenant. Tu n’as rien à craindre dans cette maison. Je laisse la lumière allumée pour t’aider à t’endormir ».
Quelques longues minutes après le départ de ses parents, alors qu’il peine à trouver le sommeil, la lumière de sa chambre s’éteint brusquement. Le petit garçon croit se souvenir qu’un évènement similaire s’était déjà produit la veille et que son père avait réussi à rallumer toutes les lumières du manoir en appuyant sur le compteur situé dans la serre derrière la bibliothèque.
Il décide alors d’aller affronter ses peurs pour atteindre le compteur et se prouver ainsi à lui même qu’il est bien devenu un grand garçon.


L’expérience du jeu


Le projet propose à deux joueurs de coopérer pour aider le garçon à affronter sa crainte des fantômes afin qu’il atteigne le compteur situé dans la serre après la grande bibliothèque.
L’écran de jeu est divisé de manière horizontale en deux mondes. Ces deux mondes représentent deux zones de jeu auxquelles sont associés des actions spécifiques pour le personnage.
L’écran de bas, dans lequel le premier joueur peut agir, permet au garçon de se déplacer dans le réel objectif. Il peut y pousser des cartons, escalader des objets solides situés à une hauteur suffisante, courir, faire apparaître les ombres des caisses et des cartons à l’aide de sa lampe torche, mettre en mouvement des tableaux.
L’écran du haut, dans lequel le second joueur peut agir, présente le garçon dans le réel tel qu’il l’imagine. Il peut sauter sur des objets et des plateformes solides et s’agripper aux anneaux des tringles de rideaux. Il peut également faire fuir des fantômes en leur sautant dessus.
Dans la pratique le joueur contrôlant le garçon dans le réel doit résoudre des énigmes tandis que le joueur le contrôlant dans l’imaginaire doit progresser pour atteindre le fantôme.






Au passage, merci à tous ceux qui ont voté. Le titre définitif n'est pas tout-à-fait celui que je préfère, mais bon...
Dans une semaine, je vous fournis une version "bien" (celle-ci est principalement "jouable").

lundi 3 janvier 2011

Noël-En-France

Trop facile.

Agrandir le plan

Toi aussi, raconte ton voyage extraordinaire pour les fêtes de fin d'année !

Et si tu n'aimes pas le sujet, il te reste 3 jeux ! 

  1. Souhaite des choses gentilles aux autres usagers du blog. Si elles se réalisent, tu marques des points (preuve à l'appuie, cachet de la poste faisant foi).
  2. Dis "bonne année" avec le moins de lettres possibles. Si, c'est possible.
  3. Le juste prix ! Sachant que seuls les trajets Nord-Nord ont été effectués en voiture, combien ce petit voyage a-t-il coûté en billets de train (carte 12-25 incluse) ?


Alors alors, qu'est-ce qu'il y aura cette année ?

D'abord, des captures d'écrans (et même peut-être une vidéo) du tout premier jeu réalisé par mon équipe ! Toujours pas de titre, mais le jeu est présenté à l'école le 17 janvier, donc il y en aura un d'ici-là. Pourrai-je y jouer, me demandes-tu ? Oui et non. Oui, parce que t'as le droit, on est en démocratie. Non, parce que tu risques fort de ne pas avoir le matos. En effet, pour ce jeu il te faut

  • Un copain
  • Un ordinateur sous Windows
  • Une manette Xbox360

Pas de mode 1 joueur, linux ou clavier seul. Désolé, la techno imposée par l'école veut ça (en partie)



Ensuite, l'adresse d'un blog de développement pour un projet secret (elle sera révélée dans les semaines à venir). Je vous laisse deviner. Si vous savez, chut !

Marc-Antoine, c'est mon binôme GD sur ce projet (on est 6 en tout). Quant au rythme de l'action, t'en fais pas bébé, c'est tout bon.

Enfin, semaine par semaine, l'évolution des projets de l'école, des exos jouables, des projets perso et, bien sûr, des femmes toutes nues.



...Bon, allez, je le dis, pffff, voilà...

Bonne année les gens.